Spécial - Noël
(Groupe de partage / Hommes)
Jean-Claude Asselin (Pause le 25 décembre et le 1er janvier)
Pauline Marquis
Michel Bourque
La bonne nouvelle d'une grande joie
Spécial Fin d'année
7 janv. |
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" Spécial Nouvel An "
Christian Leclerc
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– Christian Leclerc | |
14 janv. |
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Connecté pour grandir
Denis Guay
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– Denis Guay | |
21 janv. |
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Devenir comme des enfants (Matt. 18.1-5)
Christian Leclerc
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– Christian Leclerc |
« La sensibilité évangélique est généralement définie à partir des quatre critères énoncés par l’historien britannique David Bebbington il y a trente ans :
- biblicisme, c’est-à-dire un attachement particulier à la Bible, comme source exclusive d’autorité religieuse et morale;
- crucicentrisme, c’est-à-dire une insistance sur le sacrifice du Christ sur la croix, qui se traduit par une lecture dramatique de la Bible distinguant entre un “avant” marqué par la condamnation (le péché produisant la mort) et un “après” éclairé par la grâce;
- conversionisme, c’est-à-dire la conviction que c’est la nouvelle naissance et le changement de vie qui l’accompagne, c’est-à-dire la conversion, qui fait le chrétien;
- militantisme, c’est-à-dire la volonté de témoigner de ce Sauveur avec lequel on a une relation vivante par la prière, le partage de sa foi, et par un comportement ascétique comme le refus de relations préconjugales ou extraconjugales, du tabac, voire de l’alcool, etc.
À ces quatre critères, certains ajoutent la dimension interdénominationnelle, en remarquant que, pour les évangéliques, “être chrétien” — à savoir, être converti — prime sur l’appartenance ecclésiale. » (Michel Mallèvre)
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