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Un résumé de l’histoire de l’homme
Il y a quelques siècles, un empereur mongol (je ne sais pas s’il s’agit de Gengis Khan ou d’un autre, à Oulan Bator ou par là-bas), après avoir conquis un bon nombre de pays, convoqua les plus grands savants de son académie nationale pour leur demander de lui écrire l’histoire de l’humanité.
Quel beau travail pour ces érudits : écrire l’histoire de l’homme, l’histoire de l’humanité !
II congédia donc ses sages pour qu’ils se mettent au travail.
Ils revinrent cinq ans plus tard et lui présentèrent 20 volumes : « Voilà, sire, l’histoire de l’humanité ! »
L’empereur leur dit alors : « Vingt volumes, c’est trop. Je n’ai pas le temps. J’ai des guerres sur la frontière et je dois m’y rendre. Impossible de tout lire : vous allez les résumer en deux ou trois volumes. »
Ils repartirent et revinrent, longtemps après, en disant : « Sire, nous avons tout résumé en deux volumes. »
L’empereur leur dit : « Je n’ai pas le temps de le lire; il me faut reconstruire la capitale. J’ai beaucoup de travail; alors, soyez concis, résumez votre travail en un volume... »
Ils repartirent donc à nouveau et, entre-temps, plusieurs moururent. Finalement, il n’en reste qu’un, qui arriva et dit : « Sire, j’ai fini : voilà l’histoire de l’homme, l’histoire de l’humanité en un volume. »
Mais à ce moment-là, notre empereur est lui-même au plus mal, en train de mourir. Il dit : « Je n’aurai pas le temps de lire un volume. Tu vas donc me le résumer... en trois mots. »
L’histoire de l’humanité en trois mots ? C’est un bon exercice ! Je ne sais pas quels seraient vos trois mots si on vous les demandait. Lui, il a dit : « Sire, l’homme souffre. »
Ce résumé fort percutant rejoint l’affirmation d’Éliphaz, l’un des trois amis de Job, quant au sort de l’homme sur la terre : « L’homme naît pour souffrir » (Jb 5 : 7a).
Déprimant, n’est-ce pas ?
Comme chrétiens, nous pouvons rester forts face à la souffrance car nous avons cette espérance : « nos détresses présentes sont passagères et légères par rapport au poids insurpassable de gloire éternelle qu’elles nous préparent. » (2 Cor. 4 : 17, version du Semeur)