« Lorsqu’il eut appris que Lazare était malade, il resta deux jours encore dans le lieu où il était. »    Jean 11:6

Lorsque Lazare était mourant, ses sœurs ont envoyé porter un message à Jésus. Imaginez leur douleur quand Jésus n’a pas répondu immédiatement à leur demande de venir voir leur frère.

Nous acceptons mal le silence de Dieu. Nous désirons qu’il intervienne dès que nous l’appelons, surtout si nous souffrons. Cependant, puisqu’il a promis de répondre à nos besoins, nous pouvons être assurés qu’il vise un but en gardant le silence. Réfléchissons à ceci :

• Son silence attire notre attention sur une chose importante.
• Son silence nous enseigne à lui faire confiance.

Parfois, nous n’entendons que notre respiration lorsque nous prions, ce qui peut être frustrant et apeurant. L’Écriture affirme toutefois que Dieu est toujours avec nous et qu’il finira par rompre son silence (Job 23:8‑10; Mt 28:20). Accrochons‑nous à ces promesses en attendant sa réponse.

Charles Stanley